Scot22#2 Barra, nous voilà!

Hello!
C’est parti pour la suite des aventures écossaises de 2022, avec un article composé presque uniquement de photos prises avec le natel, la météo n’ayant pas été très propice à la photographie… Mais peu importe, car cette journée fut épique! 😀

Pour rappel, après une journée à Edimbourg, nous avons pris le train direction Glasgow et passé la nuit au Premier Inn de l’aéroport. Pas très romantique, mais très pratique!

Le lendemain, c’était le grand jour. Le jour de mon cadeau pour Fintan et Axel: le mythique vol Glasgow-Barra, avec le Twin Otter aux couleurs écossaises qui atterrit directement sur la plage. Le fameux vol dont l’horaire dépend des marées. Et aussi le vol qui est régulièrement annulé à cause de la météo. Trop de brouillard, trop de vent, et tout peut capoter. Or, la météo ne s’annonçait pas super et je craignais vraiment qu’on se retrouve coincés à Glasgow. Mais comme révélé par la première photo, l’avion a pu décoller — et, très important aussi, atterrir! Ce qui tombait bien, car le temps qu’on rejoigne l’aéroport à pied le matin, Laurine était déjà dans le bus pour Oban — pour y prendre le ferry, car l’avion était déjà plein au moment où elle a appris qu’elle était dispo pour nous accompagner.

Bref, la moitié de cet article consiste en des photos d’avion ou de bout d’avion — vous êtes prévenus. 😉

Je ne vous raconte pas notre excitation à l’aéroport quand on a vu que le vol était maintenu sur les panneaux d’affichage — en fait si, je suis absolument en train de vous raconter ça. 😉
A l’heure de rejoindre le gate, on gambadait dans l’aéroport comme de joyeux bambins. On s’est bien marrés en passant par une porte absolument inutile, vestige d’un ancien layout du couloir (enfin, je suppose, à moins que ce soit juste pour que les gens puissent s’amuser à choisir entre passer ou contourner la porte ^^).

Et quand on a vu le Twin Otter, quel bonheur!
C’est peut-être le moment de préciser que Fintan et Axel adorent voler et tout ce qui vole — les engins volants, pas spécialement les oiseaux et les libellules, ça c’est surtout mon truc ;-). D’où ce cadeau pour leurs 60 et 30 ans — et moi, je reçois régulièrement des tasses ou des chaussettes avec des dessins de libellules, comme ça tout le monde est content, haha!

On a été accueillis sur le tarmac par le copilote est on s’est faufilés dans l’avion, qui était plein et transportait 18 passagers. C’était la première fois que je rentrais dans un avion aussi petit et j’ai été étonnée par l’étroitesse de la cabine et la faible hauteur du plafond. ^^
Le copilote nous a donné le safety briefing, à moitié plié entre la cabine et le cockpit, et je crois que je n’ai jamais été aussi attentive — la probabilité de se crasher dans ce petit coucou ne me paraissait pas très faible. ^^

Puis l’heure de partir est arrivée, et la captain (une Belge à propos de laquelle Fintan avait lu un article dans un magazine, quel hasard!) a lancé le moteur à fond et est partie en marche arrière pour sortir de la “place de parking” (je me rends compte que mon vocabulaire technique aéronautique est peu développé. Bref). A ce moment-là, Fintan éclate de rire, abasourdi. Apparemment, les plus gros avions ne font pas de marche arrière, ils sont poussés par un autre véhicule pour faire demi-tour — un fait qui ne m’avait jamais traversé l’esprit, n’ayant d’habitude pas une bonne vue sur ce qui se passe devant l’appareil. On en apprend tous les jours, ha!

Puis c’est parti, moteur à fond, en avant cette fois, et on décolle! Les deux hélices tournent à toute vitesse, bien visibles à la hauteur de nos hublots. On est tout gaga. Bon, pour la vue, il faudra repasser. On se retrouve vite entourés de nuages, entre deux mers blanches. Mais qu’importe, je suis déjà tellement contente qu’on soit en route pour Barra!
De ma place, j’ai une belle vue sur l’écran de bord et je peux suivre notre progression sur la carte: loch Fyne, Mull, la pointe nord de Coll puis, enfin, Barra. Je n’imagine pas la beauté du panorama quand il fait beau!

En approchant de Barra, les nuages s’écartent pour dévoiler quelques îles du sud de l’archipel des Hébrides extérieures. Malgré le temps gris, l’eau est turquoise et les paysages, magnifiques!

On a survolé le nord de Barra avant de faire demi-tour pour atterrir par le sud-ouest. L’aéroport de Barra est une immense étendue de sable et on a atterri tout doucement sur le sable mouillé, les roues faisant gicler l’eau. Magique. ♡

C’est le moment de descendre de l’avion et de faire nos premiers pas dans le sable hébridéen: ça y est, nous voilà à Barra!

Nous sommes accueillis par le vent, suivi rapidement par la pluie, mais rien ne peut étouffer notre euphorie et notre bonheur. On récupère nos sacs au “baggage claim” le plus chill du monde (un abribus) avant de monter dans le bus direction Castlebay, le village principal de l’île, tout au sud.

“Baggage Reclaim” extrêmement rapide!

Confortablement posés dans le bus, on regarde les paysages qui défilent, derrière un rideau de pluie. Partout, des petits agneaux — un des plaisirs de voyager au printemps!

Arrivés à Castlebay, on aperçoit pour la première fois le château Kisimul, qui donne son nom au lieu. Caisteal Chiosmuil, le nom gaélique de Castlebay, signifie en effet “château du rocher de la petite baie”.
Il est trop tôt pour aller à l’auberge, donc on se réfugie au petit office du tourisme pour y manger une soupe et un scone. Le lieu est en effet multifonctionnel: information touristique, boutique, minuscule café. On y aura passé un bon moment pour échapper à la pluie, avant d’aller à l’hostel pour y poser nos affaires.

Le ciel est toujours bouché, mais il ne pleut plus. On décide donc de partir se promener. Fintan, Pilar, José et moi partons gravir Heaval, le sommet de l’île, pendant qu’Axel va faire une petite balade côtière vers le château.

Heaval trône à 383 m d’altitude et sa tête est cachée dans les nuages. Après une section sur la route, on se retrouve à marcher au pif dans l’herbe, en suivant tour à tour des sentiers de moutons et d’humanoïdes. Comme souvent en Ecosse, il n’y a pas de chemin officiel.

La vue sur la baie est magnifique malgré le mauvais temps. On admire Castlebay, son château, ainsi que Vatersay et les autres îles juste au sud de Barra.

Vue sur Castlebay

Plus on monte, plus les éléments sont déchaînés. On atteint le sommet mais on n’y traîne pas, chassés par le vent et la pluie, perdus au milieu des nuages.

On passe devant une statue de Marie et Jésus, dont je connaissais l’existence mais que j’imaginais beaucoup plus grande. On retrouve ensuite rapidement la route. En tout, ça nous aura pris 2h30 depuis l’auberge, sans se presser, pour 6.5 km. Et ravitaillés par deux sucres de raisin, pour l’énergie. 😉

L’année dernière, José et moi avons découvert Relive, qui crée des petites vidéos à partir du suivi de la montre connectée de José, en ajoutant automatiquement les photos que José prend avec son natel. On a pour l’instant uniquement testé la version gratuite, qui ne permet pas de personnaliser, mais on trouve le résultat déjà sympa. Pour le résumé de la montée de Heaval sous la pluie, c’est donc juste ici que ça se passe:

De retour sur la route, on a croisé d’adorables agneaux et brebis, qui m’ont motivée à dégainer l’appareil photo. 😉 On a aussi entendu un coucou!

Il est où le magneau? Il est là!

Puis, après une bonne douche et un chocolat chaud à l’hostel, on a aperçu le ferry qui arrivait au port. L’heure d’aller accueillir Laurine, qui a vu des dauphins lors de son périple de presque 5 heures en mer 🙂 !

Petite anecdote: alors que je courais pour rattraper le groupe qui se dirigeait vers le port (sûrement parce que j’avais pris du retard en prenant des photos ^^), une voiture s’est arrêtée pour me demander si j’avais besoin d’un lift pour le terminal du ferry, haha! Vraiment sympa 🙂 (mais en l’occurrence inutile, il me restait à peine 100 m et les passagers n’avaient pas commencé à descendre. Néanmoins, j’adore les endroits où les gens proposent des lifts sans même avoir besoin de demander, ce qui m’est arrivé plusieurs fois en Ecosse!)

La journée s’est terminée de la meilleure manière possible: en bonne compagnie au café Kisimul, avec de délicieux plats au curry (je salive rien que d’y repenser!), des employés super sympas et même du Thistly Cross Cider!

L’équipe au complet au Café Kisimul

Bon, sur ce, après un nouvel article de 10 km de long, je vous dis à la prochaine! 🙂

Scot22#1 Auld Reekie, nous voici!

Howdy!
“Aujourd’hui, je me lance dans le premier véritable article de rétrospective de mes récentes vacances en Ecosse.”

Voilà, voilà. J’ai commencé le brouillon de cet article en juin 2022, peu après mon retour de vacances, comme en témoigne la phrase ci-dessus. Nous sommes désormais en février 2023 et il est plus que temps je reprenne la plume (ou plutôt le clavier) pour lancer la rétrospective de ce voyage en Ecosse en mai 2022!

A vrai dire, j’avais complètement oublié que j’avais déjà commencé cet article sur Edimbourg. J’ai soudain remarqué que je n’écrivais quasi plus et que ça me manquait, j’ai pensé que la rétrospective serait un bon prétexte pour écrire quelques mots, puis j’ai eu la bonne surprise de voir que j’avais déjà sélectionné des photos de notre court passage dans la capitale écossaise, héhé! Je ne vais donc même pas prendre la peine de brancher le disque externe et je vais faire confiance à la Julie de juin 2022 qui s’était déjà attelée à la dure tâche de trier tous ces clichés.

Cette première semaine de vacances était une affaire de famille, mon cadeau à mon père et mon frère pour célébrer des anniversaires importants. Les vacances ont donc véritablement commencé lorsque nous nous sommes tous retrouvés à l’aéroport d’Edimbourg, après un vol depuis Genève pour Axel, Laurine, José et moi, tandis que Fintan et Pilar terminaient un road trip les ayant menés de Manchester à Edimbourg.
Nous étions aussi accompagnés par Monsieur Le Mouton, qu’on a distrait du mieux qu’on pouvait puisque c’était malheureusement le seul mouton en peluche du voyage (José et moi ayant honteusement oublié Whisky MacKenzie, notre propre mouton et mascotte de voyage, à la maison, tout seul…).

Nous avons célébré nos retrouvailles avec un bon repas au Beehive Inn, à Grassmarket, histoire de bien commencer les vacances avec un steak & ale pie, du cidre et de la bière! Avant de rentrer à l’hôtel en passant par les Meadows, débordant d’activité et de monde en cette nuit de printemps…

Nous n’avions qu’un seul jour entier ensemble dans la capitale écossaise et on comptait bien en profiter. Et pour ça, il nous fallait de l’énergie. Le lendemain a donc commencé avec un délicieux Scottish breakfast bien nourrissant (sans doute un pléonasme, car je n’ai jamais eu faim après un Scottish breakfast ^^) au très bon Kilimanjaro café.
“Ce n’est pas donné à tout le monde d’aller au Kilimanjaro en béquilles”, a ainsi pu sortir Axel, qui se remettait alors d’une blessure au genou. Haha! ^^ Bref, après cet exploit sportif (ou plutôt humoristique) de la part d’Axel et un copieux petit-déjeuner, on est partis explorer les rues d’Edimbourg.

Fintan, Pilar, José et moi avions déjà visité la ville en 2016, lors de mon Erasmus à Aberdeen. Puis j’y étais retournée en 2018. José et moi y étions encore repassés en 2021 (et techniquement aussi en 2019, en route pour Shetland, où on était passés au Decathlon d’Edimbourg car on avait oublié un linge microfibre à la maison… mais pas sûre que ça compte comme une visite d’Edimbourg, haha). Mais pour Axel et Laurine, c’était une première!

En ce qui me concerne, je ne me lasse pas d’Edimbourg. Il nous reste une tonne de trucs à visiter là-bas et il y a aussi plein de lieux où on aime retourner encore et encore. Parmi ceux-ci, le National Museum of Scotland. J’y suis passée à chacune de mes visites d’Edimbourg — et pas seulement parce que c’est gratuit, qu’il y a des toilettes et que c’est pratique pour s’abriter de la pluie. ^^’ C’est typiquement le lieu où j’adore aller revoir des objets que j’aime bien (comme les Lewis Chessmen, passage obligé à chaque fois!) et où je découvre toujours des merveilles que j’avais loupées les fois précédentes.

On a donc commencé notre journée par un super chouette passage au musée. On y était même avant l’ouverture, une première! ^^
Autre première: on est allés profiter de la vue depuis la terrasse du musée, qu’on ne connaissait pas encore. Très sympa pour admirer le château, la cathédrale Saint-Giles et les toits de la vieille-ville — et sans doute plein d’autres trucs lorsque la visibilité est un peu meilleure.

On a aussi passé de très chouettes moments à l’intérieur du musée. On s’est notamment bien amusés dans le coin du monde animal et dans celui des inventions, qui abrite plein de sympathiques jeux interactifs pour les enfants et grands enfants comme nous!

Puis, direction Calton Hill!
Pilar et moi étions assorties malgré nous aux splendides ajoncs en fleur, qui recouvraient une bonne partie de la colline d’un splendide jaune printanier.

Calton Hill est un super chouette endroit pour admirer la ville et ses alentours sous plusieurs angles. La mer d’un côté, les Pentland Hills de l’autre, Arthur’s Seat entre les deux. Princes Street, le parlement, les toits d’Old Town et New Town. On y trouve aussi plusieurs symboles de la capitale, comme le Nelson Monument (la tour derrière nous sur la photo de groupe ci-dessus) et le Monument national d’Ecosse (avec ses colonnes).

On a passé un bon moment à explorer le coin et, dans mon cas, à prendre plein, plein de photos — je traquais les bourdons dans les ajoncs, sans grand succès, puis j’ai pisté le reste de la famille, bien plus facile, haha!

Puis, les effets du Scottish breakfast commençant à s’estomper, on a emprunté Jacob’s ladder (un long escalier) et on a rallié Canongate pour manger chez Oink, un dealer de sandwiches au porc braisé que José et moi voulions tester depuis longtemps. Oh yum, c’était vraiment super bon, si bon que José et moi avons de nouveau mangé un de leurs sandwiches à la fin de nos vacances — aussi parce que tous les restos étaient complets, mais bon. ^^

A nouveau repus, nous sommes allés au parlement pour retrouver Mathilde et Jonathan, nos amis et guides pour l’après-midi! 🙂
Mathilde et Jonathan sont un couple de Français vivant à Edimbourg et qui revêtent plusieurs casquettes avec talent: ils fabriquent des kilts de manière traditionnelle (Auld Alliance Kiltmakers), sont passionnés de couture et d’artisanat et proposent également des visites guidées, des ateliers sur le tartan et les kilts, des jupes et des accessoires en tissu dans leur boutique en ligne Atelier Escapades. On a découvert leur travail grâce à Sarah de French Kilt, et notamment durant le covid avec leurs géniales visites virtuelles “Edimbourg à emporter” qu’ils ont conçues ensemble. Mathilde a aussi cousu ma jupe adorée en tartan Isle of Skye.

Cet après-midi là, ils ont donc revêtu leur casquette de guides pour nous faire découvrir des recoins de la vieille-ville et nous raconter plein d’anecdotes fascinantes.

En pleine visite guidée avec Mathilde et Jonathan
Le Royal Mile

On a emprunté des closes débouchant sur des petites cours dont on ignorait totalement l’existence. On a appris le destin tragique du poète Robert Fergusson, qui a une statue sur le Royal Mile — et devant laquelle j’avais déjà dû passer plein de fois sans jamais m’arrêter, oups. On a parlé politique écossaise, culture, histoire, kilts et plus!
On est aussi passés par Bakehouse Close, un lieu de tournage dans Outlander, héhé.

Jonathan se prenant pour Jamie dans Outlander — version moderne avec lunettes de soleil 😉

Mathilde et Jonathan étant spécialisés dans l’artisanat, ils nous ont aussi fait découvrir leurs artisans préférés. Parmi eux: Mackenzie Leather, la maroquinerie qui fabrique les lanières de cuir pour leurs kilts. C’était dimanche, donc la boutique était fermée, mais José et moi y sommes retournés à la fin de nos vacances et on a adoré visiter la boutique et l’atelier — José a acheté une ceinture, et moi j’ai bavé devant les sacs.

En remontant le Royal Mile, on s’est arrêtés devant une maison où John Knox a séjourné. L’édifice date de 1470 et est un des plus vieux bâtiments médiévaux de cette rue — il n’a quasi pas été modifié depuis les années 1550. Le bâtiment a un charme fou, et je l’aime également pour son lien ténu avec Genève, John Knox figurant après tout sur le Mur des Réformateurs — l’étendard royal écossais est d’ailleurs représenté sur des pavés des Bastions, juste en face du Mur.

John Knox House
“Il est frais, mon poisson, il est frais!”

Les alentours du Royal Mile sont truffés de multiples détails et secrets. A chaque fois que j’y passe, j’en découvre de nouveaux — et d’anciens dont j’avais déjà oublié l’existence.
Rien qu’en ce qui concerne les représentations d’animaux, il y a de quoi faire. Les poissons d’Old Fishmarket Close, les devantures ornées de dragons, les nombreuses licornes (l’animal national), les cerfs…

… et aussi ce magnifique faucon doré, qui d’après moi doit marquer l’entrée d’une boutique magique ou un passage secret du Chemin de Traverse.

Le faucon et la mer en arrière-plan

Mathilde et Jonathan nous ont raconté l’histoire de Deacon Brodie, citoyen respectable le jour, voleur la nuit — pour rembourser toutes ses dettes de jeu, notamment.
On est aussi passé voir les empreintes de mains d’auteurs ayant reçu l’Edinburgh Award: Alexander McCall Smith, J. K. Rowling, Ian Rankin…

St Giles Cathedral, qui me fait toujours penser à l’Uni d’Aberdeen, dont la chapelle a aussi une belle “crown tower” intacte.

Pour digérer cette ribambelle d’anecdotes et reposer les gambettes, on a fait une pause chocolat chaud bien méritée. Dans le café, il y avait un faux poêle avec un faux feu (so British, haha) et, dans les toilettes, une vieille recette (écrite sur la porte) pour enlever les taches d’encre d’un tissu en lin. ^^

Revigorés par cette pause gourmande, nous avons repris notre exploration. On est descendus le long de Victoria Street, toujours aussi mignonne, pour rejoindre Grassmarket et visiter un incroyable magasin de seconde main aux airs de caverne d’Ali Baba! Des chapeaux, des robes, des accessoires en tout genre et même un sarcophage!

Puis on a terminé notre visite par le cimetière de Greyfriars, bucolique dans la lumière printanière.

Là encore, on a appris plein de choses, notamment la signification des symboles gravés sur les tombes. Je ne vais pas tout raconter car, 1) j’ai bien sûr oublié la moitié (la brise dans les arbres, les jeunes feuilles si vertes, tout était si magique, je n’ai pas pu m’empêcher de filmer plein de trucs avec la GoPro… sauf que la carte SD nous a lâchés quelques jours plus tard, donc on a perdu tous les fichiers :'( beuh!) et 2) il faut bien garder un peu de mystère, pour ceux qui auront la bonne idée de réserver une visite guidée à Edimbourg! 😉

Puis l’heure est venue de dire au revoir à nos merveilleux guides… et d’aller prendre l’apéro! ^^’

Merci Mathilde et Jonathan!

Après un “kick ass apéro” sur la terrasse du Kick Ass bar, on a mangé dans l’ambiance feutrée du resto “Under the Stairs” avant d’aller récupérer nos sacs à l’hôtel puis de filer jusqu’à la gare de Waverley…

… Direction Glasgow!

A bientôt pour la suite des aventures! 🙂